Une femme se rend auprès de sa mère, qui fait ses adieux à la vie. Au cours de son voyage, elle découvre bien plus que l’héritage de sa famille. Guidée par des personnes qui veillent sur la nature, qu’elle appelle les « Gardiens », elle traverse montagnes, forêts et profondeurs océaniques, où chaque rencontre devient une aventure et le temps semble disparaître. “La baie de ma vie” tisse l’existence humaine avec la nature, révélant une danse entre le début et la fin de la vie.
La fille pourra-t-elle déchiffrer l’énigme que sa mère lui a laissée ?
Le film documentaire «La Baie de ma Vie», réalisé par Mati Covarrubias, invite le public à réfléchir sur l’importance de l’interconnexion entre tous les éléments de la nature et l’existence humaine. C’est une œuvre cinématographique qui célèbre la beauté de la planète et promeut l’équité, tout en rendant hommage à la vie des personnes qui se consacrent à la protection et à la préservation de la Nature.
«De notre Terre Mère, nous respirons l’air, nous buvons l’eau, et elle nous fournit tout ce qui est source d’alimentation, depuis le début jusqu’à la fin de notre existence.
Conscients de l’importance de la nature, nous avons créé une histoire entre la mère et la fille, qui, à travers la sagesse de l’amour, se retrouvent pour dire adieu à la temporalité de la vie, ce bref espace que chacun sous ce ciel a pour exister et répondre à l’appel que nous lance la nature», explique la réalisatrice Mati Covarrubias.
Avec une bande sonore originale, parlé en espagnol, doublée en anglais et en portugais, “La Baie de ma Vie” possède une esthétique filmée à la caméra à main, avec des séquences réalisées au Ronin sur des terrains difficiles, des images de drones et des prises de vue aériennes depuis un Cessna au-dessus d’une baie spectaculaire au Mexique. La production comprend également des moments de navigation en bateau et des images sous-marines, ainsi que des animations numériques et du son direct, produisant du matériel en 6K et 4K.
Mati Covarrubias souligne que «tout est entrelacé dans une histoire qui touche notre cœur et nous amène à réfléchir à l’importance, au soin et à la manière d’honorer ceux qui protègent la nature, l’environnement et la Terre qui nous soutient, la Terre Mère.
Dans ce mouvement continu, avec la sagesse que la vie apporte, comme une dernière leçon, une mère enseigne à sa fille la valeur et l’importance de revenir à la nature pour bien dire adieu dans notre passage à travers la vie, d’influencer positivement l’univers, de laisser un héritage aux générations futures et d’inspirer les autres à susciter ce changement de conscience et à laisser un monde où la coexistence est possible».
Un film documentaire destiné aux amoureux de la nature et de la conservation, mais aussi à ceux qui recherchent un développement personnel et spirituel, aux personnes intéressées par l’inclusion et le féminisme positif, aux scientifiques et éducateurs, aux passionnés de cinéma documentaire et de voyage, ainsi qu’au grand public en quête d’inspiration sur la nature et son lien avec la vie.
Enfin, la réalisatrice Mati Covarrubias souligne que c’est «un film qui tisse l’unité entre la vie humaine et la vie organique de la planète, et dévoile ce besoin impérieux de revenir à cette vision et de l’intégrer avec amour dans nos habitudes de vie, dans nos habitudes de développement culturel, économique et social, en incluant dans ces espaces les besoins des rivières, en immergeant dans notre univers quotidien la manière de préserver l’eau, en intégrant la montagne et les forêts dans notre développement futur pour l’humanité entière.
“La Baie de ma Vie” est un film inclusif, empreint d’amour, qui englobe également la vulgarisation scientifique et une réflexion sur le fonctionnement de la vie organique sur la planète pour soutenir la vie humaine».